Un proverbe français dit : « il faut quitter souvent pour s’aimer toujours. »
Est-ce que cela intensifie l’amour ou c’est parce que l’on consume l’amour petit à petit ?
Prendre le train pour aller le voir est devenu comme si j’allais dans le quartier d’à coté. Les heures en train ne comptes plus.
Le bonheur dans le cœur de le revoir à nouveau.
Mais repartir ensuite ! Rien ne va plus.
Je suis encore près de lui mais je ressens déjà mon mal quand je ne le serai pas, quand je serai loin.
Et cela devient de plus en plus dur de repartir quand je suis près de lui.
Mon amour pour lui augmente d’intensité tous les jours et le voir est devenu une nécessité.
Et près de lui ou non cet amour est grand.
Donc je ne sais pas s’il faut quitter souvent pour aimer toujours, mais je sais que l’amour on le ressent toujours.
Ce n’est pas moi qui consume l’amour, c’est l’amour qui me consume d’un feu ardent et sans fin.
Et chaque souffle qui émane de mon bien aimé, ne fait qu’agrandir ce feu ; un souffle d’amour dans un feu de passion, et lui-même est l’huile qui fait brûler ce feu et peut être que la distance est l’épice qui s’est ajoutée ; une fulgurance.
A ce qu’il parait l’absence diminue les médiocres passions et augmente les grandes, comme un vent qui éteint les bougies et allume un grand feu.
(« La Roche Foucauld »)
Et « Saint Evremond » dit « Les courte absences animent les passions », et « Ra butin » ajoute « L’absence ne tue l’amour que s’il est malade au départ. »
Lui, mon amour, mon bien aimé
Quand j’étais à sa recherche je ne l’ai pas trouvé.
Dans mes nuits, sur des sentiers j’avais cherché.
Je ne l’avais pas trouvé.
J’étais désespérée.
Et j’ai arrêté d’essayer de le trouver.
Quand je ne voulais pas le trouver
Quand j’avais suivi une autre destiné,
Mon bien aimé m’a retrouvé.
Il m’a appelé,
Sur le chemin de notre destiné.
Il est celui que j’ai toujours espéré,
Et dans mes ruines il m’a relevé.
Je l’aime, mon bien aimé, mon adoré,
Mon cœur, pour l’éternité.
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