15/10/2007

« il faut quitter souvent pour s’aimer toujours. »

Un proverbe français dit : « il faut quitter souvent pour s’aimer toujours. »

Est-ce que cela intensifie l’amour ou c’est parce que l’on consume l’amour petit à petit ?

Prendre le train pour aller le voir est devenu comme si j’allais dans le quartier d’à coté. Les heures en train ne comptes plus.

Le bonheur dans le cœur de le revoir à nouveau.

Mais repartir ensuite ! Rien ne va plus.

Je suis encore près de lui mais je ressens déjà mon mal quand je ne le serai pas, quand je serai loin.

Et cela devient de plus en plus dur de repartir quand je suis près de lui.

Mon amour pour lui augmente d’intensité tous les jours et le voir est devenu une nécessité.

Et près de lui ou non cet amour est grand.

Donc je ne sais pas s’il faut quitter souvent pour aimer toujours, mais je sais que l’amour on le ressent toujours.

Ce n’est pas moi qui consume l’amour, c’est l’amour qui me consume d’un feu ardent et sans fin.

Et chaque souffle qui émane de mon bien aimé, ne fait qu’agrandir ce feu ; un souffle d’amour dans un feu de passion, et lui-même est l’huile qui fait brûler ce feu et peut être que la distance est l’épice qui s’est ajoutée ; une fulgurance.

A ce qu’il parait l’absence diminue les médiocres passions et augmente les grandes, comme un vent qui éteint les bougies et allume un grand feu.

(« La Roche Foucauld »)

Et « Saint Evremond » dit « Les courte absences animent les passions », et « Ra butin » ajoute « L’absence ne tue l’amour que s’il est malade au départ. »

Tous ces mots me remontent le morale, et fait que je puisse supporter de partir loin de lui à nouveau et essayer de supporter son absence. Et je languis de le revoir encore.

Lui, mon amour, mon bien aimé

Quand j’étais à sa recherche je ne l’ai pas trouvé.

Dans mes nuits, sur des sentiers j’avais cherché.

Je ne l’avais pas trouvé.

J’étais désespérée.

Et j’ai arrêté d’essayer de le trouver.

Quand je ne voulais pas le trouver

Quand j’avais suivi une autre destiné,

Mon bien aimé m’a retrouvé.

Il m’a appelé,

Sur le chemin de notre destiné.

Il est celui que j’ai toujours espéré,

Et dans mes ruines il m’a relevé.

Je l’aime, mon bien aimé, mon adoré,

Mon cœur, pour l’éternité.

Comment comprenez-vous l’expression : « l’amour rend aveugle » ?

Comment comprenez-vous l’expression : « l’amour rend aveugle » ?

Est-ce que cela veut dire qu’on ne voit rien de ce qui se passe dans la relation et à l’extérieur de la relation parce qu’on aime et on ne voit que du bonheur et quoi ?

Cela veut-il dire qu’on fait confiance à tort et sans raisonnement.

Chacun peut avoir son opinion dessus.

Moi je la comprends d’une autre manière cette expression.

Le seul que je regarde et qui est beau à mes yeux c’est lui, le seul qui à conquis totalement tout mon être et mon cœur. Et pour ses yeux seulement je veux plaire.

Je ne vois plus que lui, dans mes pensés, mes rêves, dans mes espoirs.

Les yeux de mon cœur ne veulent voir que lui et personne d’autre, je n’ai plus de regard pour qui que ce soit d’autre. Et je ne veux que lui près de moi.

Et je sais aussi que je ne pourrais pas jouir d’une autre présence que la sienne.

Pourquoi ? Parce que c’est lui qui est avec moi à présent et qu’il m’offre ses bras quand je le désire ?

Pour vouloir une personne près de moi je suis allée chercher loin tout de même.

Mais lui a su faire sortir l’amour, pour lui je ressens l’amour, en lui j’ai trouvé l’amour.

Il me comble sans effort et pour lui je n’ai pas besoin de changer ou de m’inventer.

Comparé à Danny et ce que je vis avec lui, rien de tout ce qui m’a été donnée de vivre avant et de connaître n’y est comparable.

Et ce sera un calvaire de vivre sans lui.

Je l’aime, je l’aimerai encore et encore, même s’il est loin cela ne m’empêchera pas de l’aimer.

Puis, je l’ai connu avec la distance.

Il m’a libéré de moi, de ma vie, de mes rêves.

Il veut me protéger, il a obtenu mes chaînes, et je m’offre à lui.

En lui, au-delà de moi je vis et je survis d’un amour plus grand, réel.

Et les ombres du passé se fadent sous mes pas, le futur fleurit traçant nos chemins, lui et moi.

« Stefany Montero » dit que l’amour est comme une danse.

Au début on n’ose pas se lancer, on y va avec des pas en arrière et à reculons, on à peur de ne pas assurer alors souvent on pense à se défiler.

Pourtant, une fois le premier pied posé sur la piste, aucun moyen de s’arrêter, emmené par cette envoûtante mélodie, loin du monde et près d’una monde de magie.

Puis enlacé dans les bras, on espère que tout cela ne s’arrête pas, que la musique nous guidera sans fausses notes et dans la joie.

C’est très expressif, je trouve.

Et ces mots résument aussi toutes les pages que j’écris à présent.

Les mots sont résumés mais l’histoire est toujours à son introduction, et ma danse ne vient que de commencer.

On dit qu’avec le temps tout s’en va ou tout s’oublie ? Pensez-vous pareillement ?

On dit qu’avec le temps tout s’en va ou tout s’oublie ? Pensez-vous pareillement ?

Moi je n’y crois pas.

Des gens disent qu’ils ont oublié des visages, des passions des tendresses qui ont été et que ce la s’en va tout seul. Puis ils disent « avec le temps, va, tout s’en va. »

Je ne crois pas. Non.

On n’oublie jamais, tous ces moments, tous ces rêves. On met de cotés les moments du passé et les rêves changent.

Non, on oublie rien, surtout quand on aime une personne d’un amour intense et irrésistiblement fort.

On n’oublie rien, on vit avec, même si on songe d’oublier certaines choses et même si on les cache de nous-même.

Moi, en tous cas, je sais que je vis avec le passé mais dans mon présent et vers un futur.

Et ce que je sais aussi de l’amour que je ressens pour Danny, c’est que je n’oublierai jamais cet amour, cette passion, et je me souviendrai de chaque détail et de toutes les émotions depuis le début.

Le temps n’aura pas d’effet. Et je n’oublierai rien de tout ce qui se passe, rien de ses mots doux, rien de sa tendresse, rien de ses caresses.

Ses mots sont différents de ceux que j’ai entendu avant, les lettres toujours pareilles, mais comment il me les donne et comment il sait toucher mon cœur est la différence.

Ses caresses sont différentes. Pourquoi ? C’est toujours des mains, des bras et c’est un homme.

Sa passion qui m’enflamme et sa tendresse qui m’enivre fait sa différence et mon cœur amoureux, puis moi folle d’amour pour lui, est la différence.

Je me rappelle et me rappellerai encore des moments avec lui. A chaque moment.

J’ai cherché celui que mon cœur aime et je l’ai enfin trouvé en lui. Il m’a insufflé les chants du bonheur. Et mon univers s’est reconnu en un paradis. Que ce royaume reste à jamais notre Eden ou pour toujours, sans se leurrer, nous pourrions nous aimer.

Comment ressentez-vous le manque d’une personne à qui vous teniez ?

Comment ressentez-vous le manque d’une personne à qui vous teniez ?

Est-ce que toutes personnes le ressentent de la même manière ? Je ne sais pas et je ne peux pas ressentir à la place d’une autre personne.

Moi, quand je dis que Danny me manque, que mon amour adoré me manque, quand je suis loin de lui et que j’éprouve cette sensation de manque comme une maladie qui me ronge petit à petit de l’intérieur, je ne sais tout simplement pas quoi faire et je me sens vidée de mon énergie vitale sans avoir la force de me débattre.

Je repense à ses mots, sa manière de prononcer ces mots, à ce qu’il a dit, j’entends en moi sa voix qui résonne, je me souviens de chacun de ses gestes, et mes lèvres ont encore le goût des siens, de ses baisers, de sa peau.

Quand je ferme les yeux je revois encore son sourire, son visage, son corps ; je ressens encore ses caresses, sa tendre présence près de moi, et puis, pourtant, j’ouvre les yeux, il n’est pas là et je soupire de ne voir et ressentir que du vide autour et près de moi.

Les discussions, les temps passés avec lui me manquent. C’est devenu une nécessité.

Cela fait mal ! Un mal indescriptible sans remède, que l’on soit endormie ou éveillé, on ressent son absence, l’absence de cette personne qu’on aime, et on ne cesse de penser à lui, à ce monde lointain.

Il est mon monde, mon univers, je ne veux que lui, le voir lui et son sourire et avec ses faits et gestes, je veux qu’il me sert encore et encore dans ses bras et puis l’embrasser tendrement, je être toujours auprès de lui, pour lui.

C’est trop ! Je languis et je meurs !

Et quand il me disait de rester, je sens mon cœur m’étrangler, me battre à coup de hache et me briser car je ne pouvais pas rester.

J’ai toujours une vie à faire et c’est dur que ce ne soit pas là où il est, mais loin de lui.

Pourtant tout ce que je veux c’est de rester près de lui, à le chérir, à prendre soin de lui. J’aurai souhaité à être enchaînée pour pouvoir rester et sentir, savoir sans cesse que je lui appartienne.

Oui, cette sensation d’appartenir à quelqu’un.

Je n’ai jamais cru qu’un jour j’aimerai cela, moi qui aimais ma liberté.

Mais le fait de sentir que je suis à lui, que je lui appartienne me rend heureuse même.

Et quand on est enlacé, je le sens en moi et tout mon être est en transe, et tout ce que je désire est qu’il me garde rien que pour lui et qu’il ne me laisse jamais.

Une fois il me demandait si je peux faire le choix de lui appartenir et non pas à un autre.

Je pense que le choix a été fait depuis le début.

Pourquoi risquer de perdre beaucoup pour un choix qu’on ne va pas faire ?

Je sais que mon choix a été fait, que lui l’accepte ou non décidera si mon choix tient sa route. Et je ne serai rien qu’à lui.

Quand il n’est pas là ou quand je ne peux pas lui parler et l’entendre parler, je me sens perdue et plus que seule.

Une personne ne m’a jamais manquée autant. La vie elle-même devient fade et sans intérêt, sans lui. J’ai l’impression d’avoir l’esprit en désarroi, toujours ailleurs, dans un rêve qui tourne en boucle. Et j’entre en moi que je ne retrouve pas.

Je résiste et j’essaie de me débattre contre ce mal en moi.

Mais comment nager à contre courant dans un fleuve puissant et dont on ne voit pas les rivages, il est irrésistible de suivre son cours.

Je suis une personne souriante, je pense, et je crois que je n’ai jamais eu du mal à voir la vie du bon coté et me faire croire que tout est en rose depuis que j’ai accepté de vivre la vie qui m’a été donnée.

Mais là, sans lui, un sourire est devenu difficile à donner quand ce n’est pas lui qui me donne le sourire.

Je veux tout simplement m’endormir dans un profond sommeil jusqu’ à ce que mon bien aimé arrive et me réveille avec un doux baiser et qu’ensuite il m’emmène et me garde près de lui pour la vie, pour toujours même, si l’infinie existe.

Ma vie, moi-même est vide sans lui et rien ne peut combler ce vide sauf lui-même.

Avant, je pouvais me sentir seule mais je trouvais toujours une chose pour combler le manque, mais avec lui, sans lui, il me manque et quoi que je fasse mes pensés vont vers lui.

Et j’ai désespérément besoin de lui. J’ai besoin de lui comme un arbre au milieu du désert a besoin de pluie, d’eau ; comme l’homme a besoin d’air, d’oxygène ; j’ai besoin de lui pour pouvoir voir un soleil dans la nuit, pour savoir que le temps passe vite, pour croire que l’espoir fait vivre, pour espérer que les rêves deviennent réalité. J’ai besoin de lui tous les jours, comme aujourd’hui et toujours.

Nostalgies logent en moi et me consument lentement et peuvent faire un spectre de ce corps qu’elles dévorent.

Tout mon cœur s’arrache au monde familier.

Et avec mon stylo, je dessine et je trace toutes les couleurs des souvenirs qu’il m’a laissés et je raconte mon cœur.

C’est ce qu’on appel « l’avoir dans la peau ». Non ?

Oui, je l’ai dans la peau, mon bien aimé. Il fait partie de moi et j’espère ne pas me tromper que je fasse aussi partie de lui.

La distance la plus torturante et la plus éloignée est celle de ne pas être une partie de lui, de ne pas être dans son cœur ; une distance bien plus insupportable que celle de ne pas être près de lui, avec lui.

Lui ; la fraîcheur d’un paradis, la fierté de l’aurore, la beauté de la lune, l’éclat du soleil, mon jardin privé, ma source personnelle, ma fontaine, mon mirage, mon ivresse, mon palais mon refuge, mes rêves, mes espoirs, mon fantasme.

Ne vous ai-je pas dis qu’on peut en dire long sur l’amour ?Et on peut trouver une connection à l’amour avec toutes choses, même si cela semble insigni

Ne vous ai-je pas dis qu’on peut en dire long sur l’amour ? Et on peut trouver une connection à l’amour avec toutes choses, même si cela semble insignifiant.

Vous aimez la musique ? Je pense bien que oui. Qui n’aime pas la musique ? La majorité aime je crois.

Et comment entendez-vous la voix de votre bien aimé ?

J’aime la musique, et la musique me donne une sensation de bien-être et de liberté, et j’adore danser pour que je puisse exprimer cette jouissance magnifique.

Et quand je réveille le matin avec une mélodie, d’une musique ou des petits oiseaux du matin, je sens une sensation qui me fait voir la vie en rose, sans soucis.

Mais le plus doux, le plus merveilleux son à mes oreilles est sa voix, la voix de mon bien aimé, et tout ce qu’il dit est une musique, un chant. Sa voix me donne un bien-être infiniment beau, une humeur joyeuse, une paix intérieure.

C’est un doux son, une tendre mélodie, et mon cœur danse de joie à son écoute.

Je me répète mais je ne me lasserai jamais de le dire, de le redire, et encore, qu’il me rend heureuse et que je l’aime.

Quand sa voix me réveille le matin, avec son sourire, toute la journée sera merveilleuse. Il me dit « Bonjour bébé !» et je me lève avec une bonne humeur de tonnerre et la vie est rose.

Pourquoi ? Aucune idée. C’est l’amour !

Tout ce qui le concerne devient tout simplement des merveilles du monde, de mon monde, qui attire une curiosité infinie.

Les merveilles du monde ont des faces cachées aussi quand même. Mais ici je ne dirai rien de mes sombres peurs.

Et quand je n’entends pas sa voix, j’ai l’impression de vivre dans le silence totale, comme perdue dans une lointaine contrée.

Quand je ne voix pas son sourire, mon soleil ne brille plus, mon monde devient couleur noir ébène.

Et quand son regard ne se pose pas sur moi, je me sens comme abandonnée dans un profond sombre gouffre.

Suis-je idiote ? Stupide ? Bornée ? Je ne sais pas, mais si je le suis-je veux le rester.

Et j’ajoute que je l’aime pour ce que je suis quand je suis avec lui et pas seulement pour ce qu’il est.

Est-ce qu’on devient quelqu’un d’autre quand on est avec la personne qu’on aime ? C’était quoi le discourt de rester soi-même ?

Pour moi, on ne devient pas une autre personne différente quand on est avec celui qu’on aime. A quoi bon servira de changer ce que l’on est ? Si on s’invente, on invente l’amour et la relation.

Je dis que j’aime ce que je suis quand je suis avec lui parce qu’il fait de moi-même la plus parfaite. C’est moi-même qu’il perfectionne et complète par sa présence. Et j’aime cela, cette sensation d’être parfaite.

Et lui est le plus beau, le plus merveilleux du monde, une perfection, ma perfection. Personne n’est parfait, mais pour moi il l’est.

C’est une sensation qui m’est nouvelle et je veux en découvrir encore plus. Mon amour pour lui augmente de jour en jour et les sensations sont toujours encore plus intenses.

Je sais que j’ai encore beaucoup de choses à apprendre maintenant et demain, et je n’hésite pas quand je dis que je veux tout savoir par lui, je veux que ce soit lui qui m’apprenne ce que je dois savoir encore de la vie et ce que j’ai besoin de savoir.

La vie nous apprend des choses mais les gens aussi.

Et je veux être parfaite pour lui, je veux qu’il soit fier de moi, de m’avoir. Je désire aller au-delà de mes limites pour pouvoir être meilleur encore, pour lui.

Tout tourne autour de lui, et tout vient de lui, et tout est pour lui.

Pourquoi je dis tout cela ? Pour lui ou vous prouver à quel point je l’aime ?

Non. Je n’essaie que m’exprimer par des simples mots.

L’amour vrai, l’amour pour de vrai entend ce qui n’est pas dit et comprend ce qui n’est pas expliqué, l’amour n’est point dans la bouche ni dans la pensés. L’amour est dans le cœur. Pour moi l’amour n’a pas besoin d’être prouvé par des mots, il faut seulement l’éprouver et il fera ses preuves tout seul. L’amour se sent et se fait savoir.

Aviez-vous déjà pleuré, verser des larmes parce que vous etes plein d’émotions seulement ou parce que vous etes heureux ?

Les larmes.

Quand on entend parler de larmes, on a tout de suite en tête que cette personne qui pleure est triste, malheureuse ou tout simplement quelqu’un qui pleurniche car il est sans force intérieur.

Aviez-vous déjà pleuré, verser des larmes parce que vous etes plein d’émotions seulement ou parce que vous etes heureux ?

Tout le monde pleure, même celui qui ne verse pas de larme a un cœur qui, au fond, pleure en silence.

Une fois, j’ai pleuré et je ne voulais plus jamais pleures parce que qu’il était temps d’accepter cette vie fade et triste, et rien ne sert de pleurer.

Une personne qui ne verse pas de larmes, on dit qu’elle est froide et indifférente.

Je pense qu’une personne qui refuse de pleurer est indifférente à elle-même mais non pas aux autres.

Je crois que cette personne a besoin de s’ouvrir à elle-même, un peu d’attention pour elle-même, puis elle pourra s’ouvrir aux autres, au monde.

« Ouvre ta porte au monde et le monde s’ouvrira à toi ».

Mais si on s’enferme en soi, on ne fait que s’isolé, s’écarté de tout et on en veut au monde entier pour ne pas nous accepter or qu’on ne s’accepte pas soi-même.

Il faut s’aimer soi-même, aimer sa vie, accepter, apprécier, ensuite on peut avancer et construire la vie qu’on veut.

Je n’ai aucune connaissance en psychologie, je ne fais que donner ma version des choses.

S’enfermer en soi et ne pas accepter sa vie parce que c’est une vie qui fait pleurer ne peut rendre en aucun cas heureux, au contraire on afflige le cœur qu’encore plus de silence.

Verser des larmes est l’expression du cœur et fait extérioriser les émotions. Et comme l’esprit, le cœur a besoin de s’exprimer. Et si on le tient au silence, il finit par, un jour, ne pas supporter son silence et veut exploser d’émotions.

Ensuite on pleure quand même, et le cœur est moins lourd et il sourit à nouveau.

Donner une chance à soi-même, à sa vie, à un plus grand avenir. Apprendre à s’épanouir, même avec boucliers.

Et le monde apprend à comprendre et à écouter.

Pleurer fait partie de la vie. Mais il y a des jours, on pleure et on finit par croire que la vie n’est que tristesse.

« Accepte la vie et la vie t’acceptera », mais il y a des choses dans la vie qui ne nous ont pas été données de comprendre en entier.

Je n’aurai jamais pu croire que moi je verserai des larmes comme je l’ai fait, un jour, en regardant Danny tout simplement et ce n’était pas du tout de la tristesse.

Je le regardais, je souriais de joie, je sentais en moi tout cet amour qui bouillonne et l’émotion est trop grande, et les larmes ont coulées d’elles-mêmes, irrésistiblement.

Penser à lui, ressentir tout l’amour pour lui, le regarder et me rendre compte de la grandeur impressionnante de mes émotions pour lui ; j’étais, pendant que mes larmes coulaient, à la fois heureuse et confuse. Est-ce que je le mérite ? Est-ce que je mérite autant ?

Pleurer comme cela n’a jamais été ma conception des pleurs et des larmes.

Je n’ai jamais ressentis une chose pareille, si fort, si intense et cela me dépasse.

C’est un sentiment qui m’est difficile à comprendre et plus encore de décrire. Et moi-même, je ne sais pas ce qui m’est arrivée.

Je pleurais par l’amour que j’ai pour lui, je pleurais pour le bonheur qu’il me donne. Et j’étais confuse parce que je suis tellement heureuse et j’avais peur que cela soit irréel car le réveil allait être dur et allait faire très mal si toutefois je rêvais.

Mais pourtant à ce moment, j’ai vu à quel point il est beau à mes yeux, à quel point il est parfait pour moi ; et j’ai sentis mon cœur battre comme s’il allait sortir de ma poitrine tellement je le désire et je l’aime, et cette sensation de peur qu’il me quitte un jour.

Et autant d’émotion, en un coup, remontait de mes entrailles ne cherchant qu’à sortir d’une manière ou d’une autre. Puis un profond soupire me vint et les larmes coulèrent.

Je pleurerai encore et encore mais je ne veux pour rien au monde arrêter de pleurer. A cause de lui ou pour lui je verserai des larmes et je les laisserai coulées.

Par delà les mots, là me vient la certitude, là s’en va les craintes et un souffle d’éternité investis mon amour.

Je ne m’empêcherai pas de pleurer, non pas parce que je ne veux plus me renfermer sur moi-même ni parce que je ne veux plus être indifférente à mes sentiments, mais parce que je suis heureuse de l’aimer autant, heureuse de ressentir tout cet amour, plus que grand, pour lui.

J’ai dis oui à l’amour, oui à la transe, je ne veux pas changer, j’aime, je l’aime.

On dit que l’amour fait mal et que le bonheur vient toujours avec des larmes.

La balance des contraires, le positif est toujours avec son coté négatif, quand il y a un nord il y a toujours un sud.

Pour moi, l’amour ne peut être que beau et ce qui peut faire mal en amour fait encore sa beauté.

L’amour est beau et ne peut faire que du bonheur.

Le bonheur est toujours suivit par le malheur on dit. Tout dépend du comment apprécier le bonheur, je crois.

Vous y croyez vous quand on vous dit : « celui qui fera ton bonheur fera aussi ton malheur » ?

Peut être que c’est vrai, mais pour moi, pour lui que j’aime, même un malheur, une tristesse devient doux avec lui à mes cotés. Je serai toujours heureuse d’avoir pu et de ressentir cet amour pour lui.

L’amour vrai est un sentiment qui n’attend rien en retour mais qui donne toujours généreusement.

Ce n’est pas une règle à appliquer, c’est une chose, un fait qui se passe sans qu’on le veuille, on donne et on offre tout et sans effort et toujours avec plaisir.

Et cet amour ne peut faire que du bien. Il se satisfait en satisfaisant l’être aimé et on est heureux dans le bonheur de celle qu’on aime et pour qui on donne tout.

Et moi, je ne veux que son bonheur, lui, l’être chère à mon cœur, je veux pouvoir tout lui offrir pour qu’il ait tout le bonheur du monde. Ce que je veux pour moi ne compte pas.

« Quand on veut on peut ». J’espère pouvoir le rendre heureux et encore plus heureux.

Oui, je veux qu’il m’aime autant que je l’aime, qu’il me fasse plaisir, qu’il me rende heureuse aussi ; ce sont des besoins tout à fait naturels et des demandes d’une fille amoureuse aussi. Mais son bien-être passe avant tout et je suis heureuse de lui offrir autant que je puisse lui offrir.

Transfert d’énergie. C’est comme quand vous touchiez une chose avec un courant à haute tension, le courant passe en vous. Ou c’est comme si vous aviez une énergie que vous donniez et l’énergie circule, fait du va et vient et le flux s’intensifie.

Bref ! Le Nord et le Sud ne vont plus que dans une seule direction et le positif ne fait qu’un avec le négatif pour devenir une seule puissance qui tend vers la perfection.

Je ne prétends, en aucun cas que je suis parfaite et en aucun point, et encore moins que j’ai des sentiments les plus parfaits et que tout est bonheur.

Je ne fais qu’essayer d’exprimer ce que je ressens, ce qui me passe dans la tête, mes pensés et réflexions.

Et je n’essaie que de dire tout cela par les simples mots que j’ai.

Et c’est certain que comme tout autre être humain, mes désire et sentiments peuvent pencher un peu plus vers moi et vouloir recevoir autant que vouloir donner, dès fois.

Mais certaines personnes, quand même, désire recevoir et seulement recevoir et donner le minimum possible pour encore plus recevoir.

Une citation qui est bien expressif cite : « Quand on aime, on doit se mettre à l’évidence de rien recevoir en retour et même de perdre, mais si on attend en retour, on n’aime pas, on investit. » Un peu rude et directe mais cette phrase tient son sens.

L’amour et encore l’amour

L’amour et encore l’amour. Je n’en parle pas seulement parce que je suis amoureuse et que je pense toujours à mon amour ou encore que j’essaie de comprendre l’amour. Notre vie, notre monde lui-même tourne autour de l’amour.

L’amour est tout ce qui importe.

Chacun aime et chacun à sa manière.

L’amour est l’inspiration même de la vie et fait tourner le monde. Ne croyez-vous pas ?

Il inspire chacun à faire quelque chose dans la vie, à faire la vie et cela n’est pas seulement l’amour qu’on a pour une personne.

Déjà, premierement, chacun est né par l’amour d’un père et d’une mère qui se sont unis ; c’est indéniable que l’amour inspire à créer une vie. Inspire une vie entière.

Jésus a dit : «le royaume de Dieu est en chacun de vous, à vous d’en faire ce qui vous en plaira. »

L’amour est le royaume de Dieu et Dieu lui-même est amour. Dieu est en nous et on est son égal quand il nous a donnée de pouvoir avoir le règne sur son royaume, et si on ne le détruit pas nous-même on peut vivre cet amour, dans ce royaume. Et Dieu nous aime.

Bref ! Cette phrase, ce fait d’avoir l’amour en soi, en moi-même, m’est vraiment significatif et tient son importance.

Avoir un amour en soi qui n’attend que celui qui a la bonne clef pour ouvrir la porte et le laisser entrer pour que tout cet amour soit pour lui, en lui et en moi et par lui.

Cette phrase m’a inspiré en bien des choses ; « l’espoir fait vivre » on dit et elle donnait l’espoir de vivre l’amour.

Et tout compte fait l’amour qui peut faire continuer à vivre, à espérer n’est pas si loin et il faut juste entrer en soi pour le trouver ; si on arrive à entrer en soi ; cela a besoin de l’aide de la personne qui a la clef.

Je n’ai pas toujours eu cette façon de penser, bien entendu ; comme tout le monde je crois, j’ai déjà perdue espoir en l’amour.

Mais cette phrase, cet amour a inspiré en moi un amour qui ne veut que donner. Mais comment le donner si celui à qui on le donne ne sait pas comment recevoir et a besoin de trente-six chemins pour pouvoir apprécier ce que l‘on donne, puis ouvre et referme les portes, puis veut ensuite avoir cet amour d’une autre manière ou par une fenêtre.

L’inspiration de partager l’amour avec quelqu’un est bien évidente et cela inspire le bonheur.

On peut aussi parler de toute sortes d’inspirations ; ce qui inspire à réussir des choses dans la vie, ou en plus simple, ce qui inspire à s’exprimer ou tout juste à sourire.

Tout inspiration, en tous cas en ma croyance, d’une manière ou d’une autre, est soit par l’amour pour soit même, soit par l’amour pour quelqu’un ou quelque chose.

Pour ma part, quand je fais quelque chose, comme par exemple l’envie de réussite et de réaliser les ambitions sont inspirées par l’amour que j’ai pour moi-même en premier lieu.

Il est vrai qu’il est parfois difficile pour certaines personnes d’admettre l’amour qu’elles ont pour elles-mêmes ou de s’aimer elles-mêmes. Peut être parce qu’elles veulent trop devenir une autres personne ou juste par peur du jugement des regards de la société.

Je ne suis pas narcissique, ni égoïste. En aucun point, je crois, mais tout le monde a droit à des points de vue différents.

J’affirme que j’ai de l’amour pour moi-même et je suis fière.

J’ai, un jour entendu dire : « aimez vous vous-même et vous sauriez comment aimer les autres. » et aussi : « aimez les autres comme vous vous aimez vous-même. »

Compliquées ?

Ce n’est pas si compliquées je crois.

Aimer soi-même n’implique pas toujours être égocentrique et sans intérêt pour d’autres. Je pense que cela implique surtout de se connaître soi-même et de se comprendre, puis apprécier.

Et si on se comprend soi-même, on peut comprendre les autres, être à l’écoute, et apprécier chaque chose de la vie. Et on peut apprendre à avoir confiance aux autres et les accepter avec leurs différences.

La différence est une nécessité. Ma différence est ma nécessité.

Puis la manière, comment on aime soi-même influence beaucoup la manière d’aimer les autres.

Est-ce qu’on aime d’une manière à penser d’abord aux avantages pour soi ? Ou est-ce qu’on aimera trop soi-même et on n’apprécie personne d’autres? Ou est-ce qu’on aime d’une manière à tout offrir ; corps et âme ?

Enfin ! Tout dépend de comment on interprète et qu’est-ce que l’esprit admet, et aussi de comment on s’applique à être soi-même ou à être quelqu’un.

Et il y a l’inspiration par l’amour que j’ai pour l’être chère à mon cœur. Même les plus petites choses comptent.

Est-ce que j’écris parce que j’aime écrire ou raconter des choses ? Je peux écrire et décrire parce que de lui et de l’amour pour lui vient mon inspiration.

Veiller la nuit, dormir tard. Est-ce que c’est seulement parce que j’aime parler et bavarder avec lui ? Non seulement, mais aussi pour l’amour de lui, je suis inspirée à tout.

Aimer une personne peut inspirer à beaucoup de chose et même à bâtir un monde.

Comme, par exemple, les grands écrivains ; poètes, romanciers, qui de leurs écrits racontent et décrivent l’amour ; sans l’amour qui leurs ont donné l’inspiration, ils n’auraient pas pu le décrire et encore moins le raconter avec les émotions dans les mots. « Shakespeare » et bien d’autres.

Les chanteurs, pour l’amour de la musique sont inspirés à exprimer l’amour ou la vie, ou pour l’amour sont inspirés à chanter et à créer la musique.

Et ceux qui sont inspirés à faire des choses plus grand ; eux sont inspirés par quoi ?

Les révolutionnaires, libérateurs ; « Che Guevara », « Nelson Mandela » ; inspirés par l’amour de la liberté, pour le peuple, l’amour pour son pays, sa terre, l’amour d’une indépendance et de la différence.

L’amour peut tout aussi bien inspirer bonheur, tristesse, colère, peur, jalousie, fantaisie….

Tout le monde quelque part est inspiré par l’amour ; que cet amour soit grand ou minime, pour lui-même ou pour une personne ou pour quelque chose ; même ceux qui sont qualifiés de méchants, ils sont peut être inspirés par l’amour pour eux-mêmes trop grand, ou pour l’amour de ce qu’ils font, pour l’amour de la mort ou de la vie, quoi que cela puisse être ; un amour mal placé.

Bref, personne ne peut savoir exactement tout sur ce qui peut amener une personne à faire quelque chose, on ne peut que supposer et créer une vérité qui peut être acceptée par notre esprit et qu’on admet comme vrai.

Mystère de l’esprit humain et de l’existence elle-même.

En tout cas, je crois au fait que l’amour inspire et guide à suivre le cœur, les rêves.

Et le chemin que mon cœur me montre est un chemin sur lequel mon bien aimé fera la route avec moi et l’amour que j’ai pour lui m’inspire à être heureuse, à apprécier chaque moment de la vie, à faire beaucoup de chose, à projeter de réaliser beaucoup de chose.