Les larmes.
Quand on entend parler de larmes, on a tout de suite en tête que cette personne qui pleure est triste, malheureuse ou tout simplement quelqu’un qui pleurniche car il est sans force intérieur. Aviez-vous déjà pleuré, verser des larmes parce que vous etes plein d’émotions seulement ou parce que vous etes heureux ?
Tout le monde pleure, même celui qui ne verse pas de larme a un cœur qui, au fond, pleure en silence.
Une fois, j’ai pleuré et je ne voulais plus jamais pleures parce que qu’il était temps d’accepter cette vie fade et triste, et rien ne sert de pleurer.
Une personne qui ne verse pas de larmes, on dit qu’elle est froide et indifférente.
Je pense qu’une personne qui refuse de pleurer est indifférente à elle-même mais non pas aux autres.
Je crois que cette personne a besoin de s’ouvrir à elle-même, un peu d’attention pour elle-même, puis elle pourra s’ouvrir aux autres, au monde.
« Ouvre ta porte au monde et le monde s’ouvrira à toi ».
Mais si on s’enferme en soi, on ne fait que s’isolé, s’écarté de tout et on en veut au monde entier pour ne pas nous accepter or qu’on ne s’accepte pas soi-même.
Il faut s’aimer soi-même, aimer sa vie, accepter, apprécier, ensuite on peut avancer et construire la vie qu’on veut.
Je n’ai aucune connaissance en psychologie, je ne fais que donner ma version des choses.
S’enfermer en soi et ne pas accepter sa vie parce que c’est une vie qui fait pleurer ne peut rendre en aucun cas heureux, au contraire on afflige le cœur qu’encore plus de silence.
Verser des larmes est l’expression du cœur et fait extérioriser les émotions. Et comme l’esprit, le cœur a besoin de s’exprimer. Et si on le tient au silence, il finit par, un jour, ne pas supporter son silence et veut exploser d’émotions.
Ensuite on pleure quand même, et le cœur est moins lourd et il sourit à nouveau.
Donner une chance à soi-même, à sa vie, à un plus grand avenir. Apprendre à s’épanouir, même avec boucliers.
Et le monde apprend à comprendre et à écouter.
Pleurer fait partie de la vie. Mais il y a des jours, on pleure et on finit par croire que la vie n’est que tristesse.
« Accepte la vie et la vie t’acceptera », mais il y a des choses dans la vie qui ne nous ont pas été données de comprendre en entier.
Je n’aurai jamais pu croire que moi je verserai des larmes comme je l’ai fait, un jour, en regardant Danny tout simplement et ce n’était pas du tout de la tristesse.
Je le regardais, je souriais de joie, je sentais en moi tout cet amour qui bouillonne et l’émotion est trop grande, et les larmes ont coulées d’elles-mêmes, irrésistiblement.
Penser à lui, ressentir tout l’amour pour lui, le regarder et me rendre compte de la grandeur impressionnante de mes émotions pour lui ; j’étais, pendant que mes larmes coulaient, à la fois heureuse et confuse. Est-ce que je le mérite ? Est-ce que je mérite autant ?
Pleurer comme cela n’a jamais été ma conception des pleurs et des larmes.
Je n’ai jamais ressentis une chose pareille, si fort, si intense et cela me dépasse.
C’est un sentiment qui m’est difficile à comprendre et plus encore de décrire. Et moi-même, je ne sais pas ce qui m’est arrivée.
Je pleurais par l’amour que j’ai pour lui, je pleurais pour le bonheur qu’il me donne. Et j’étais confuse parce que je suis tellement heureuse et j’avais peur que cela soit irréel car le réveil allait être dur et allait faire très mal si toutefois je rêvais.
Mais pourtant à ce moment, j’ai vu à quel point il est beau à mes yeux, à quel point il est parfait pour moi ; et j’ai sentis mon cœur battre comme s’il allait sortir de ma poitrine tellement je le désire et je l’aime, et cette sensation de peur qu’il me quitte un jour.
Et autant d’émotion, en un coup, remontait de mes entrailles ne cherchant qu’à sortir d’une manière ou d’une autre. Puis un profond soupire me vint et les larmes coulèrent.
Je pleurerai encore et encore mais je ne veux pour rien au monde arrêter de pleurer. A cause de lui ou pour lui je verserai des larmes et je les laisserai coulées.
Par delà les mots, là me vient la certitude, là s’en va les craintes et un souffle d’éternité investis mon amour.
Je ne m’empêcherai pas de pleurer, non pas parce que je ne veux plus me renfermer sur moi-même ni parce que je ne veux plus être indifférente à mes sentiments, mais parce que je suis heureuse de l’aimer autant, heureuse de ressentir tout cet amour, plus que grand, pour lui.
J’ai dis oui à l’amour, oui à la transe, je ne veux pas changer, j’aime, je l’aime.
On dit que l’amour fait mal et que le bonheur vient toujours avec des larmes. La balance des contraires, le positif est toujours avec son coté négatif, quand il y a un nord il y a toujours un sud.
Pour moi, l’amour ne peut être que beau et ce qui peut faire mal en amour fait encore sa beauté.
L’amour est beau et ne peut faire que du bonheur.
Le bonheur est toujours suivit par le malheur on dit. Tout dépend du comment apprécier le bonheur, je crois.
Vous y croyez vous quand on vous dit : « celui qui fera ton bonheur fera aussi ton malheur » ?
Peut être que c’est vrai, mais pour moi, pour lui que j’aime, même un malheur, une tristesse devient doux avec lui à mes cotés. Je serai toujours heureuse d’avoir pu et de ressentir cet amour pour lui.
L’amour vrai est un sentiment qui n’attend rien en retour mais qui donne toujours généreusement.
Ce n’est pas une règle à appliquer, c’est une chose, un fait qui se passe sans qu’on le veuille, on donne et on offre tout et sans effort et toujours avec plaisir.
Et cet amour ne peut faire que du bien. Il se satisfait en satisfaisant l’être aimé et on est heureux dans le bonheur de celle qu’on aime et pour qui on donne tout.
Et moi, je ne veux que son bonheur, lui, l’être chère à mon cœur, je veux pouvoir tout lui offrir pour qu’il ait tout le bonheur du monde. Ce que je veux pour moi ne compte pas.
« Quand on veut on peut ». J’espère pouvoir le rendre heureux et encore plus heureux.
Oui, je veux qu’il m’aime autant que je l’aime, qu’il me fasse plaisir, qu’il me rende heureuse aussi ; ce sont des besoins tout à fait naturels et des demandes d’une fille amoureuse aussi. Mais son bien-être passe avant tout et je suis heureuse de lui offrir autant que je puisse lui offrir.
Transfert d’énergie. C’est comme quand vous touchiez une chose avec un courant à haute tension, le courant passe en vous. Ou c’est comme si vous aviez une énergie que vous donniez et l’énergie circule, fait du va et vient et le flux s’intensifie.
Bref ! Le Nord et le Sud ne vont plus que dans une seule direction et le positif ne fait qu’un avec le négatif pour devenir une seule puissance qui tend vers la perfection.
Je ne prétends, en aucun cas que je suis parfaite et en aucun point, et encore moins que j’ai des sentiments les plus parfaits et que tout est bonheur.
Je ne fais qu’essayer d’exprimer ce que je ressens, ce qui me passe dans la tête, mes pensés et réflexions.
Et je n’essaie que de dire tout cela par les simples mots que j’ai.
Et c’est certain que comme tout autre être humain, mes désire et sentiments peuvent pencher un peu plus vers moi et vouloir recevoir autant que vouloir donner, dès fois.
Mais certaines personnes, quand même, désire recevoir et seulement recevoir et donner le minimum possible pour encore plus recevoir.
Une citation qui est bien expressif cite : « Quand on aime, on doit se mettre à l’évidence de rien recevoir en retour et même de perdre, mais si on attend en retour, on n’aime pas, on investit. » Un peu rude et directe mais cette phrase tient son sens.